Le FRAC expo sur Haris Epaminonda: article du 18 octobre 2015

De plus, Il faut

s’interroger sur le sens des différents sons :

1/ ceux faits par le pers

onnage : le bol de prière ; lorsqu’il astique la pierre ; lorsqu’il verse de l’eau avec la cuillère de bois sur les pierres amassées sur le gros vase ou bien lorsqu’il ratisse le sable

2/ dans toute l’expo, par intermittences

rappel de gongs ; d’appels à

la prière ; de rites religieux

Ambiance de lieux empreints de religiosité, d’intimité ; on a tendance à marcher sur la pointe des pieds pour ne pas déranger le personnage qui nous accepte dans son intimité ; dans sa vie quotidienne : il s’allonge vêtu de son kimono ordinaire sur son tatami avec ses ouvrages de prières ou son journal intime, se lève pour préparer son thé, se rend dans sa salle de prière pour jouer du bol

Corrélation avec le cinéaste Yasujiro Ozu qui filme dans des temporalités très différentes des espaces de la rueses films sont sobres, très épurés, la trame est quasi inexist

ante, très subtile, tourne autour des relations et des conflits familiaux.