
L’argenture et la dorure par électrolyse
En 1842, Charle Christofle achète le brevets d'argenture et de de dorure par électrolyse déposés deux ans auparavent par Henri de Ruolz : grâce au courant électrique, une pièce de métal non précieux peut être couverte d'une couche d'argent ou d'or. Il détient dès lors le monopole de cette technique et ouvre une manufacture à Paris, rue de Bondy, pour argenter et dorer les pièces réalisées par des orfèvres ou des bronziers. Il faut attendre 1845 pour que Christofle fabrique ses premières pièces orfèvrerie et publie alors son premir catalogue commercial illustré.