Dans le même temps, il tend à repenser l’histoire de l’art à travers cette notion d’ « art guérisseur » ; et notamment le XXème siècle dont la capacité « restauratrice » des œuvres a été occultée par l’importance des analyses de ce siècle en tant qu’art de la « destruction », de la « déstructuration ».

Il se pose la question du fonctionnement du trio artiste-œuvre-spectateur dans l’art thérapeutique.

Il est important de rappeler ici que le corpus de l’auteur se limite aux artistes suivants : Henri Matisse, Fernand Léger, Sam Francis, Antoni Tapies, Joseph Beuys, Lygia Clark et y ajoute Thomas Struth, Fabrice Hybert, Marie-Ange Guilleminot et Claire Roudenko-Bertin.

  • Il veut qu’on analyse davantage la relation de l’art et de la thérapie, l’art ne dépend pas toujours d’un contexte historique mais aussi d’un artiste. L’art fait partie du tissu social
  • Les différents chapitres : 1/ Art et médecine : de l’iconographie du soin à l’art comme thérapie  de Maurice Fréchuret ; 2/ Esthétique et clinique : brève introduction à l’art médecine de Thierry Davila ; 3 / Aux confins de l’art médecin de Maurice Fréchuret ; 4 / l’art thérapeute et l’objet médecin de Maurice Fréchuret ; 5/ L’artiste guérisseur et l’homme médecin  de Thierry Davila ; 6/ L’officine contemporaine : d’autres homéopathies de Thierry Davila  7/ Les œuvres agissantes de Thierry Davila

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